Mon stage de fin d’études, je l’ai effectué à la Mairie de Paris, sur leur projet d’Agenda 21. Mon projet collectif était déjà pour la Mairie de paris : une étude sur l’impact économique et commercial du tramway des Maréchaux sud.
A la sortie de STU, j’ai suivi la prépa concours administratifs de Sciences Po. Après avoir réussi et intégré l’INET (Institut National des Etudes Territoriales) au niveau administrateur territorial, je suis allé 18 mois en formation, avec certains cours en commun avec l’ENA. Dans notre promotion, il y avait à peu près autant d’externes que d’internes. La différence entre un administrateur et un attaché territorial se joue à la fois dans la difficulté du concours (plus d’épreuves, moins de places pour le concours d’administrateur) et dans le poste que l’on décroche après : le poste d’attaché territorial est aussi un poste à haut niveau de responsabilité, mais généralement sur un sujet plus précis. Mais il est possible d’évoluer en interne par la suite…
Est-ce que l’on est bien formé au « développement économique » en STU? Je dirais que oui, mais peut être plus dans le sens de la « stratégie territorial ». Car lorsque l’on parle de développement des territoires, ou même lorsque l’on fait un diagnostic, on prend évidemment en compte cet aspect aussi.
Aujourd’hui, ma mission auprès du DGS implique de suivre un très large nombre de thématiques et réclame beaucoup d’investissement. Je travaille en effet en très étroite collaboration avec lui, et dois donc profiter de ses créneaux de disponibilités, tôt le matin ou… tard le soir. Mais c’est très intéressant. Pour mes prochaines missions, j’aimerais je pense plus me diriger vers des villes ou intercommunalités, afin de renouer aussi avec ma formation plus « urbaine », et certains centres d’intérêts, comme les politiques que peuvent avoir certaines villes en matière d’éducation…
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