In Situ
Urbainement vôtre depuis 2007
Association de loi 1901 créée en 2007, In Situ fédère les
étudiant·e·s et diplômé·e·s des Masters de l’École Urbaine de Sciences Po Paris.
Association de loi 1901 créée en 2007, In Situ fédère les
étudiant·e·s et diplômé·e·s des Masters de l’École Urbaine de Sciences Po Paris.
Association de loi 1901 créée en 2007, In Situ fédère les étudiant·e·s et diplômé·e·s des Masters de l’Ecole Urbaine de Sciences Po Paris.
Notre association vit grâce à un réseau dynamique de bonnes volontés qui participent ponctuellement ou régulièrement à la préparation de nos missions et événements.
Composé d’anciens et d’étudiants de nos Masters, le bureau élu peut compter sur une équipe alliant mixité inter-Master et inter-promo.
Depuis 2013, In Situ dispose d’un Conseil d’Administration. Réunissant membres du bureau, responsables scientifiques et pédagogiques et membres du corps professoral des différents Masters, il permet de renforcer les liens entre l’association, les Masters de l'École Urbaine et Sciences Po.
Happy Hours des Anciens
Bières urbaines et soirées
Programme de Pré-rentrée
…
Offres d’emplois et de stages
Annuaire des Alumni
Rencontres métiers
…
Conférences et voyages d’études
Visites et balades urbaines
Concours photo
…
Mon parcours a été assez diversifié au départ. Après deux années de classe préparatoire, j'ai intégré l’École Normale Supérieure de Lyon, où j’ai obtenu une licence en Histoire et un Master 1 en Histoire contemporaine, sous la direction de Frédéric Abécassis. Mon mémoire m’a permis d’explorer des enjeux politiques et culturels sous le régime de Ben Ali, tout en m’intéressant à des questions internationales. Ensuite, j’ai dû préparer les concours de cadre A, c’est-à-dire le CAPES et l’agrégation. À l’âge de 22 ou 23 ans, j'ai été nommée prof d’Histoire-Géographie dans le Mont-Blanc. Je ne m’y voyais pas, ce qui m’a poussée à faire un second master, cette fois, à Sciences Po, où j’ai choisi le Master GLM. Ce programme m’a immédiatement séduite en raison de son approche combinée de l’international, de la politique publique, que je n'avais pas encore abordée sous un angle académique, et de l’urbanisme, un domaine qui m'intéressait beaucoup.